Mucha tela para cortar

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martes, septiembre 15, 2015

Parcours Aucwin à Saint-Denis 2015





« En me baladant aux alentours, j’ai été inspirée par les motifs des tissus vendus sur le 
marché, auxquels j’ai superposé ceux qui ornaient les « Indiennes », ces étoffes de cotons du XVIIIe s. imprimées au pochoir, fabriquées à la Manufacture de Jouy, étendues et séchées à la maison des Arbalétriers, 9 rue Auguste Blanqui. »
Saint-Denis, 2015
Espace intermédiaire, habillé par Julia Lopez accompagnée par Michèle Coïc, Claire Espinosa et les passants qui participaient. 













martes, junio 18, 2013

Equilibrio y alegria




Se trata de una serie de fotos que capturan la acción del cuerpo mientras  busca establecer una composición entre las la piernas cubiertas por  medias de colores y  la tela que se encuentra en el piso. Dicha exploración del movimiento y de las  formas incita a una suerte de danza,  una coreografía pictural que  permite la integración de fuerzas físicas y psíquicas, al igual que la puesta en escena del deseo y alli  la  exprecion de una  potencia del cuerpo, como una forma de la alegría.


L’appareil photo à la main, le corps s’oriente dans l’espace, mais je ne vois que les jambes colorées sur la surface. Il s’établit un rythme plus intime, se mettre à genoux, ouvrir les jambes, plier les genoux, se pencher, s’allonger, se courber, une sorte de danse qui fait apparaître et disparaître le volume (les jambes) dans le cadre de l’appareil photo.
Un volume vu en plongée, par derrière, au repos, à cloche-pied, en faisant un
effort, etc. Le corps se meut dans l’espace-temps déterminé de la surface-fond.
Cette ’exploration du mouvement et des formes incite à une sorte de danse, qui permet l’intégration de forces psychiques et physiques, et la mise en scène du désir,
expression d’une puissance du corps, comme dirais Gilles Deleuze dans L’abécédaire,
 « La joie, c’est tout ce qui consiste à effectuer une puissance.»



lunes, abril 08, 2013

Couper/coudre, Atelier Saint Paul, Avril 2013


                                          
          
         Après avoir fait mes choix à petite échelle, je passe au travail sur grand format.
Bientôt, les fermetures éclairs seront cousues, elles relieront les tissus, les couleurs, en vue de trouver une unité/de créer un ensemble.

        Je remarque que le geste du toucher traverse toutes les étapes de la création de mes tableaux. A chaque fois je repasse le tissu avec la main, une caresse qui révèle son existence et la mienne.


domingo, marzo 17, 2013

Atelier Saint Paul, 19 février 2013




En vue de ma prochaine exposition, je suis en quête de nouvelles combinaisons de couleurs et de tissus, des mariages heureux et dynamiques…
Dans un premier temps, je réalise des miniatures, ce qui me permet d’optimiser mon temps et d’explorer plus rapidement l’infinité de variations possibles.
Il s’agit alors de faire des choix : agencer les couleurs entre elles, les formes, tout ceci grâce, et par l’observation.
Dans un second temps, une fois les combinaisons déterminées, je réalise les œuvres sur grand format.
Au fur et à mesure cette nouvelle série se dessine, se dévoile.

lunes, noviembre 26, 2012

ziiiiip # 1





A partir del momento en que incluí el objeto/cierre dentro de mi investigación, inicie una colección  de  sus innumerables usos. 
Una de estas se sucede  el año 2009 mientras caminaba en la playa de Ipanema; en el momento en que imaginaba la continuación de mi trabajo, se presenta ante  mi un joven Brasileño ofreciéndome su producto: un bolsito que se arma a partir de un cierre muy común en mercados artesanales, sin dudarlo le pedí que me permitiera grabarlo y en un intercambio de sonrisas lo permitió. Su nombre es Toquinho.

viernes, febrero 24, 2012

ziiiiiip




En traitant le zip en tant qu’objet lui-même, j’ai déplacé son utilisation pour créer une sculpture molle ; Celle-ci fait référence à la fois à l’idée de nid, cocon, de sac, et de vêtement.
En poussant le principe du mécanisme fermer/ouvrir, construire/déconstruire l’objet, le public est amené à activer la pièce. Ce dispositif met au cœur de la création le corps, comme un jeu d’enfant, où il faut construite ces pièces ou les défaire.